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Mercredi 20 février 3 20 /02 /Fév 14:35
- Par A Man For Your Pleasure


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Je travaille à Bruxelles, dans une de ces tours climatisées où on a l'impression de respirer avec un demi-poumon.

 

Par la fenêtre de mon bureau, je vois la ville bouger dans tous les sens. On a l’impression de dominer le monde. Tout semble si petit, comme un tapis de jeu pour enfant. Les voitures s'arrêtent aux feux, puis redémarrent avec, pour certaines, un panache de fumée impressionnant. Des inconnus font tourner les tourniquets des immeubles avoisinants. Une sirène de police retentit de temps en temps. Telle est la ville chaque matin, une vraie fourmilière.

 

 

 

Depuis le matin, de timides rayons de soleil lèchent les vitres de mon bureau et illumine les toits en face de moi. Le froid est encore là, invisible, sauf lorsqu'on observe la fumée blanche légère par-dessus les cheminées.

 

J'attends ma pause déjeuné avec impatience. J'ai envie de prendre un bon bol d'air, de respirer un air un peu plus sain.

 

Il est midi. J’abandonne mes collègues et mes travaux. Je sors enfin ! Autour de moi, des immeubles de verre s'élèvent tels des mastodontes. Je suis devenu une de ces petites fourmis qui s'apprête à déguster son sandwich horriblement cher.

 

Je m’installe tranquillement sur un des bancs autour de moi. En hiver, les badauds ne sont pas tentés de rester au froid. J’ai essayé de trouver la meilleure place pour profiter le plus longtemps du soleil.

 

Devant moi, la ville défile dans un sens, puis dans l’autre. Les tourniquets des immeubles tournent à plein régime. Les fumeurs se retrouvent à l’extérieur, les mains gelées par le froid.

 

Tout à coup, un son sourd et sec se fait entendre à ma droite. Ce bruit me sort de mes observations. Je me retourne et vois une demoiselle au sol. Le vent souffle vers moi son parfum doux et léger, délicatement sucré. Je m’empresse d’aider la jeune femme à récupérer les pages des classeurs qu’elle tenait au moment de sa chute.

 

 

Je l’installe sur « mon » banc pour qu’elle reprenne ses esprits. Le soleil illumine sa peau. Elle est sublime. Son visage bronzé est subtilement maquillé. Elle a les cheveux bruns mi- long tenus à l'arrière de sa tête par une pince, des yeux bruns intenses avec un fard à paupières sombre. Une bouche couverte d’un gloss rose clair brillant. Elle porte une courte veste en daim grise, une robe courte moulante ocre, des bas de couleur brun foncé et des hautes bottes brunes.

 

Elle semble déboussolée car ses documents sont en désordre. Elle me dit qu’elle doit rendre ces classeurs pour une réunion de son supérieur dans l’après-midi. Je la rassure et cours derrière les dernières pages parties dans les tourbillons de vent.

 

En prenant une des dernières feuilles, j’observe la demoiselle. Elle ouvre sa veste, ce qui fait découvrir sa taille fine qui semble cacher des formes généreuses à la poitrine. Avec la lumière du soleil, les décorations de son soutien-gorge se dessinent en relief sur sa robe.

 

Je m’approche d’elle, heureux d’avoir récupérer les dernières pages envolées. Je l’aide à tout remettre en ordre. Elle me remercie d’un grand sourire.

 

Je pensais que cette rencontre allait se finir avec ce dernier sourire. Je m'attendais à rejoindre mon bureau et voir disparaître cette demoiselle mais contre toute attente, elle me demande de l’accompagner jusqu’à son bureau, dans l’immeuble devant nous.

 

J’ignore ce qu’il m’a pris, mais j’ai décidé de la suivre. Pour avoir un rôle intéressant et être utile, je porte les classeurs de cette demoiselle. Elle me précède, ce qui me laisse le temps d’admirer ses délicieuses courbes. Chaque pas est un plaisir pour les yeux. Elle ouvre une porte, puis une autre. Nous entrons dans un vrai dédale de couloirs.

 

Ce bâtiment moderne est un de ses immeubles sans âme : vitré à l’extérieur, en béton, lumières au néon et parois blanches en plastiques à l’intérieur. Ces tours où les « open-space » sont la loi du genre.

 

Nous arrivons à un ascenseur. Elle appuie sur le dernier bouton du cadran. En quelques secondes, je me suis remémoré la chanson « En apesanteur » de Calogéro. Je la regarde, elle me rend avec son sourire radieux.

 

Les portes s’ouvrent. Le décor a changé : sol en tapis, murs décorés avec quelques oeuvres d'art, des lumières halogènes qui rendent un effet tamisé à l'environnement. On ne se croit plus dans le même univers. Elle m’ouvre la porte de son bureau.

 

Un espace chaleureux avec un bonzaï sur un bureau très large et surtout avec une vue imprenable sur l’Atomium au loin.

 

Je lui demande où je dois mettre les classeurs. Elle me désigne une table près d’une grande porte coulissante donnant certainement sur le bureau du « Grand Patron ».

 

Je m’approche d’elle en lui disant qu’elle est sublime et que j’espère l’avoir aidée au mieux. Elle approche sa bouche de mon oreille et me dit dans une voix douce et sensuelle qu’elle a très envie de moi.

 

Mon sang ne fait qu’un tour. Nous nous embrassons à pleine bouche. Sa langue glisse contre la mienne tel le ballet du Lac des Cygnes.

 

Je parcours son corps, je relève le bas de sa robe et glisse mes mains jusqu'à son entre-jambe. La petite coquine n'avait pas de culotte.

 

Elle déboutonne mon pantalon. L'excitation de cette rencontre incongrue a rendu mon sexe déjà très dur. Elle prend mon sexe entre ses mains. Je sens qu'elle est experte dans le maniement des préliminaires.

 

Pour profiter de chaque douceur de cet ange, je prends un préservatif dans mon portefeuille et l'applique sur mon sexe. Elle sourit, heureuse de profiter d'un sexe protégé. Elle reprend ses mouvements avec ses mains sur mon sexe et approche sa langue de mon gland. Elle commence à le lécher telle une glace à déguster. Elle glisse la tête de mon sexe dans sa bouche. Puis elle enfonce mon sexe jusqu'au fond de sa gorge et le ressort avec délicatesse.

 


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Elle poursuit des va-et-vient et commence à sentir que j'allais jouir. Je l'interromps. Je lui demande de s'asseoir sur le bureau et lui retire sa robe et ses bas. Mes observations étaient correctes: mademoiselle a une poitrine généreuse dans une lingerie subtile très connue.

 

Je dégrafe son soutien-gorge pour libérer cette poitrine pour l'embrasser et la déguster. Je sens l'excitation dans chaque parcelle de peau. Elle a les mamelons qui pointent. Je les prends à pleine bouche et les sucent légèrement. Je continue à embrasser son corps et commence à descendre jusque son sexe. Elle lance de petits gémissements à chaque baiser sur sa peau.

 

Son pubis est très bien entretenu. J'entrouvre ses lèvres déjà gonflées pour faire apparaître son clitoris. Je glisse ma langue pour titiller ce petit appareil du plaisir. Ses gémissements se font de plus en plus forts. Elle prend une de mes mains, elle choisit mon majeur pour le mettre en bouche et le sucer. Ensuite, tout en tenant mon majeur, elle l'approche de l'entrée de son vagin. Je continue à lui procurer du plaisir au niveau de son clitoris. Elle commence à entrer mon majeur dans son sexe humide et chaud. Je commence un va-et-vient, tout en donnant une pression légère sur son point "G" à chaque passage. Ses cris montrent qu'elle prend son pied.

 

J'abandonne son sexe pour remonter lui mordiller son oreille. Je lui dis de se lever et se retourner. Elle s'exécute et s'installe sur son bureau.

 

Elle prend mon sexe en main et le met à l'entrée de son vagin. Je commence mon rapprochement et je sens la chaleur de ce fourreau entourer mon sexe. L'humidité de son paradis terrestre me permet de rentrer sans encombre. Un bruit de succion se produit même lorsque je la pénètre avec la capote.

 

 

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Elle crie de bonheur à chaque coup de mes reins. Le va-et-vient se fait de plus en plus intense. La petite cochonne essaie en plus de jouer avec ses muscles vaginaux pour sérer encore plus mon sexe dans son fourreau étroit.

 

Elle veut me sentir encore plus au fond d'elle alors nous changeons de position. Elle se couche sur le bureau.

 

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J'entreprends des mouvements amples et rapides. Elle adore. Elle adore tellement qu'elle me dit qu'elle va bientôt jouir. Je sens que ça va être la même chose pour moi. Alors, avec mon majeur, je commence à exciter son clitoris tout en la pénétrant de plus en plus vite. Elle crie qu'elle ne pourra plus tenir très longtemps. Sa respiration est rapide.

 

Je sens que je suis au fond de son vagin à chaque coup de rein. Elle adore me sentir au plus profond d'elle. Elle me dit qu'elle veut sentir que je jouis en elle. Les coups sont de plus en plus rapides. Je sens mon sexe gonfler. Elle lance tout à coup un râle de jouissance. Ses muscles se crispent et sa peau à la chair de poule.

 

Je sens mon sexe donner des secousses pour lancer le sperme dans son vagin. Elle ressent ces secousses en elle. Elle profite. Je profite. Je l'embrasse puis commence à extraire mon sexe couvert du préservatif. Elle prend la capote avec mon sperme. Elle rigole et je lui dis que ce n'est pas pour aujourd'hui le bébé. Elle rigole à nouveau.

 

Nous commençons à nous rhabiller. Je l'embrasse une dernière fois. Je la quitte.

 

Je retourne à mon bureau. Mon temps de midi est fini. Un de mes collègues me demande si j'ai bien mangé ce midi. Je lui ai répondu que le casse-croute était exceptionnel aujourd'hui.

 

La demoiselle s'appelle Virginie. Elle a 28 ans. Il n'est pas prévu qu'on se revoie.

 

A bientôt pour une nouvelle aventure.


[Crédit images: http://www.definebabe.com/gallery/lqr/lucy-lee/]

Publié dans : Histoires érotiques
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Mercredi 20 février 3 20 /02 /Fév 08:42
- Par A Man For Your Pleasure


Bonjour à toutes et à tous sur ce nouveau blog.

Au vu du nom, je suppose que vous avez compris que je suis belge.

Pour faire les choses simplement, j'ai voulu créer ce "journal" pour écrire les quelques aventures et histoires que je vais vivre. Je vais tenter de retranscrire au mieux les moments, les émotions et les sensations vécues.

Je vais aussi vous faire partager mon avis sur des évènements ou buzz du moment.

 

N'hésitez par à intéragir et laisser vos commentaires (négatifs ou positifs), à entrer en contact avec moi.

Pour en savoir plus sur moi, je vous laisse parcourir mon profil.

 

Je vais vous faire découvrir à quelle point la Belgique peut être coquine.

A très bientôt.


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  • Je suis un jeune homme de 27 ans. J'habite en Belgique. Cheveux châtains, yeux bleu-gris. Je suis corporellement dans la normale. Je ne me considère pas comme un homme beau ou attirant.

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